
24 novembre à La Roche sur Yon – Georges de La Tour au musée Jacquemart-André
CYEL 10, Rue Salvador Allende, La Roche sur YonGeorges de La Tour, peintre lorrain au caractère un peu mystérieux, a su créer un langage pictural très expressif.
Georges de La Tour, peintre lorrain au caractère un peu mystérieux, a su créer un langage pictural très expressif.
Autour de la figure de Cléopâtre se sont forgées des légendes, “noires ou dorées” nous précise l’exposition de l’Institut du Monde Arabe.
Du parapluie protecteur au déluge dramatique, la pluie traverse la peinture du XIXe siècle comme un motif à la fois météorologique, poétique et symbolique.
Le Musée de l’Orangerie remet à l’honneur l’une des pionnières du marché de l’art : Berthe Weill, une des exceptions de son époque.
Au-delà des simples « décors » de ballets, la danse entretient des relations fructueuses avec les arts dits visuels ou plastiques.
L’exposition L’Empire du Sommeil explore les représentations du sommeil en peinture entre le XIXe et le XXe siècle.
Le concept d’originalité est central dans la construction de la valeur de l’art, particulièrement pour la photographie.
En avril 1925 se tient à Paris une exposition consacrée aux Arts décoratifs et industriels modernes, exposition manifeste qui laissa dans l’imaginaire collectif l’expression «Art déco» et le style qui lui est associé.
Une exploration des différentes figures historiques ou légendaires des magiciennes et des sorcières, en remontant jusqu’à l’Antiquité.
Au milieu des années 1970, les crises sociales et identitaires traversant les villes modernes ont favorisé l’émergence d'une nouvelle architecture.
Nous découvrirons des artistes autodidactes, marginaux, ou simplement animés d'une volonté d'expression libre, qui ont poursuivi la quête de Chaissac, celle d’une parole plastique sincère, instinctive et profondément personnelle.
Tout naturellement, les artistes de l'art optique s’emparent ou s’inspirent de l'ordinateur naissant, posant les bases d’un futur art numérique.
L’exposition propose une relecture du parcours artistique de Rousseau, au-delà du mythe du "Douanier", en explorant sa pratique, ses ambitions, la matérialité de ses œuvres et leur place sur le marché de l’art moderne.
L’exposition “Matisse 1941-1954 : La couleur sans limite” explore la dernière grande période créative d’Henri Matisse.
L’exposition propose une relecture du parcours artistique de Rousseau, au-delà du mythe du "Douanier", en explorant sa pratique, ses ambitions, la matérialité de ses œuvres et leur place sur le marché de l’art moderne.